Chaque année, le fonds de dotation de La Voix du Nord, le Noël des Déshérités, peut compter sur la mobilisation de ses bénévoles de La Voix du Nord et d’ailleurs. Des journalistes, le directeur des partenariats, des retraités, nous expliquent le sens de leur engagement au sein de l’association.

 

Pierre Mauchamp, directeur de la rédaction

 

 

« J’ai repris la coordination des journalistes qui travaillent bénévolement pour le Noël en 2018, quand je suis devenu directeur de la rédaction. Ça devenait de plus en plus dur d’en trouver, mais je me suis dit que le Noël ne pouvait pas disparaître, c’est un peu de l’identité de La Voix du Nord et de son histoire. Depuis, chaque année, je suis agréablement surpris de l’implication des journalistes volontaires, qui réalisent ces sujets en dehors de leur temps de travail. Pour moi, cet engagement fait partie de l’âme de l’opération. »

Arnaud Delplanque, directeur des partenariats

 

 

« Je suis papa de trois garçons qui ont eu la chance d’être toujours gâtés par le Père Noël. Cette belle fête de Noël, symbole de partage et de convivialité, doit pouvoir rayonner au sein de chaque famille de la région. C’est parce qu’on ne peut laisser personne sur le côté à Noël que j’apporte mon aide au Noël des déshérités. »

Alice Bonvoisin, journaliste

 

 

« J’ai toujours aimé Noël et ces jolis moments passés au pied du sapin ou autour d’une bonne table. Une parenthèse enchantée, où le partage est roi et que chacun devrait avoir la chance de connaître une fois dans sa vie. »

Simon Caenen, journaliste

 

« Mes grands-parents étaient lecteurs de La Voix du Nord, mes parents le sont aussi. Dès l’enfance, je feuilletais le journal qui traînait sur la table de la cuisine. C’est comme cela que j’ai découvert le Noël des déshérités et me suis attaché à cet engagement du journal, avec l’envie de m’y impliquer. »

Alain Cherrier, retraité

 

 

« J’ai travaillé comme comptable pendant trente ans à La Voix du Nord, lorsque la retraite a sonné, j’ai rejoint le Noël des Déshérités, je voulais donner de mon temps pour les enfants défavorisés. Quand je vois des sourires sur les petites frimousses des enfants et sur celles de leurs familles, ça me rend très heureux.   »

Claire Courbet, journaliste

 

 

« Pour moi, Noël est la fête du partage. Participer à la campagne est un moyen d’agir à ma petite échelle auprès de milliers d’enfants de la région, en leur permettant peut-être de passer un Noël un peu plus féérique. »

Florence Delsinne, journaliste

 

 

« Parce que j’ai eu une enfance heureuse, avec des Noëls joyeux et inoubliables, je mesure, aujourd’hui adulte, combien ces moments sont importants et fondateurs pour toute la vie. Le Noël des déshérités permet à des enfants qui en ont besoin de ressentir la joie de découvrir un cadeau sous le sapin. Un peu de douceur dans ce monde de bruts… Essentiel, non ? »

Alice Favier, journaliste

 

 

« En trois ans, j’ai pu découvrir tous les acteurs du Noël des déshérités. Le dévouement des bénévoles, la fidélité d’amicales et associations pour donner, l’implication de l’ESAT de Marcq et des structures associatives, et surtout le doux sourire des enfants bénéficiaires. »

Aïcha Noui, journaliste

 

« Quand la solidarité prend forme et aboutit, c’est beau à voir. Ça se manifeste par un sourire, de la joie, un regard ému. Grâce au Noël des Déshérités, on en voit beaucoup. C’est ce qui fait le sel de l’engagement et qui, chaque année, donne envie de se mobiliser davantage. »

Didier Poiret, retraité

 

 

« J’ai travaillé pendant quarante ans à La Voix du Nord comme graphiste. Avant d’être bénévole pour le Noël des Déshérités, je l’étais au sein de l’Unicef, la cause des enfants m’intéresse, et je me suis dit pourquoi ne pas agir dans ma région. On travaille pour les familles dans la précarité, ça redonne le sourire aux enfants à Noël, c’est important et je suis très heureux de le faire. »